Jouer avec le lecteur
Jouer avec le lecteur…
Voici une illustration de ce que peut être une mise en scène…
La bonne vieille règle du nombre d’or !
La bonne vieille règle du nombre d'or !
Kezako ?
Le découpage a horreur de la symétrie !
Le découpage à horreur de la symétrie !
Un coup j’te cadre à droite, un coup j’te cadre à gauche…
Admettons que vous ayez une bonne raison de faire cela…
Acrylique
Acrylique Technique de mise en couleurs. C'est un peu la jeune sœur de la peinture à l'huile. Elle sèche plus vite et est beaucoup plus souple d'emploi. On l'utilise rarement en BD, sauf pour des albums en couleurs directes. EXEMPLE : Bilal. Retour au lexique
Pré-production
Pré-production : D'abord, on fait des recherches de personnages en techniques légères et facilement retouchables (par exemple, le crayon). Il faut leur donner un physique en correspondance avec leur caractère (bien qu'on puisse aussi jouer sur les apparences et...
Phylactère
Phylactère : C'est le nom savant que l'on donne aux bulles dans lesquels on écrit le texte. Retour au lexique
Plan
Plan : Il s'agit d'un terme venant du cinéma, qui représente la série d'images enregistrées en une seule fois, par une prise de vue ininterrompue. En BD il s'agit d'une seule image. On peut détailler les nuances suivantes : Plans généraux, de grands ensembles, qui...
Encrage
Encrage / mise au net
Si vous optez
pour une mise au net traditionnelle, une fois le crayonné terminé,
on le repasse à l’encre afin de le rendre parfaitement Ç lisible È
Plusieurs outils peuvent servir pour réaliser ce travail. Les
dessinateurs utilisent principalement trois techniques :
– La
plume : Elle possède un corps en plastique (souvent orange) et une
pointe en fer. On la trempe dans l’encre de chine avant de
l’utiliser. Grâce à elle, on obtient un trait noir assez égal, assez
simple. Les pages de Tintin, par exemple, sont encrées à la plume.
– Le pinceau : nécessite beaucoup d’entra”nement avant d’arriver
à le ma”triser. On le trempe dans l’encre de chine. Il permet de
donner de la souplesse au trait, de faire des pleins et déliés,
comme dans Astérix.
– Le feutre : C’est la technique la plus
moderne. Il y a tellement de feutres différents dans le commerce que
le choix est presque sans fin. C’est à chacun de faire des essais
pour acheter celui qui lui convient le mieux.
– Il existe
aujourd’hui des méthodes moins traditionnelles. Certains auteurs
exécutent leur encrage sur un calque qu’ils superposent sur leur
crayonné. Cela permet, par exemple, de ne pas avoir à recommencer un
crayonné si l’on rate son encrage.
– D’autres ont carrément
abandonné la phase de l’encrage : ils font une photocopie de leur
crayonné, et le trait de crayon se transforme en trait noir ! Mais
cela suppose d’avoir un crayonné bien lisible…